L'espace de rencontre surbaissé invite les visiteurs à se rassembler, verre de vin à la main, et contempler le foyer double-face.
Butcher Shop
Ottawa
Ce projet : convertir une boucherie du 19e siècle, désignée site patrimonial, en résidence unifamiliale. Le projet rénovation/ajout devait respecter les critères rigoureux imposés par la désignation patrimoniale d'Ottawa de la façade et la volumétrie de l'immeuble.
Nous avons testé les limites avec le design progressif et maintenu un lien robuste entre certains éléments historiques de l'ancienne structure et son patrimoine.
Places assises surbaissées
Célébrer le patrimoine
Les matériaux qui couvrent les murs et les plafonds de l'ancienne boucherie furent récupérés afin de conserver le caractère de l'édifice original.
Coup d'oeil sur le design - Étal de boucher
La cuisine de type commercial, avec ses bleu glacé, acier inoxidable et gris foncé, est jumelée avec l'effet chaleureux vieux-monde d'un étal de boucher, façonné spécifiquement pour rendre hommage aux débuts modestes de la demeure.
La salle à manger gît contre un mur externe, percé par des fenêtres de dimensions spécifiques et variées.
Capacité de croissance
Un jardin intérieur, du genre qu'on retrouve dans un atrium, occupe le centre du rez-de-chaussée et contient un arbre ou palmier qui devrait atteindre la hauteur de deux étages, vers le grand puits de lumière.
Jardins communicatifs
La proximité du jardin intérieur à celui qui se trouve à l'extérieur crée un sentiment d'appartenance avec Dame Nature.
"Dire que nous aimons la nouvelle Butcherhouse (La Boucherie) semble cliché - mais c'est un fait. La Butcherhouse fait toujours face au trottoir, mais aujourd'hui elle est habillée d'une fierté qu'elle habite sans réserve!"
- Client
À l'étage, des espaces de lieu délaissés et minables ont été transformés en chambres lumineuses et en salles de bain reluisantes.
Collaborateurs
Construction : Constructive Behaviour
Mur métallique et luminaires : Client
Aménagement paysager : Martin Kovar (Swantel Landscaping)
Photographie : Erin Warder